ARATAN N'AKALLE (live Mali, touareg / blues du desert), ANOUAR BAOUNA (Live, gnawa), OGOUN FERRAILLE
ARATAN N'AKALLE (live Mali, touareg / blues du desert), ANOUAR BAOUNA (Live, gnawa), OGOUN FERRAILLE
ARATAN N'AKALLE
Le groupe Aratan N‘Akalle (qui signifie Les enfants du pays en langue tamasheq) est né de la rencontre de jeunes musiciens maliens qui se sont retrouvés dans des camps de réfugiés au Burkina Faso et en Mauritanie au début de l‘année 2012, début de la crise politique au Mali. Ils se sont retrouvés désɶuvrés, avec la musique comme seul refuge et occupation. Ils ont donc décidé de monter ensemble un groupe de musique de blues tamasheq pour montrer ce patrimoine culturel et exprimer leur vécu et leur situation de vie.
Aratan N‘Akalle est invité en Suisse pour un échange culturelle, des collaborations artistiques et à enrichir le publique avec leur musique. Une résidence de création est prevue à Genève au Studio Tortion pour enregistrer une partie de leur nouveau album Achawka en live.
À travers huit titres, Manamosse Kel tamasheq compile un certain nombre de messages et de réponses fondamentales dans la culture tamasheq pour tenter d‘apporter des réponses à la question à la fois universelle et si personnelle de Qui sommes-nous? Pour son premier album, Aratan N‘Akalle nous offre un concentré musical de la culture tamasheq, pour la préserver, la transmettre et l‘expliquer.
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ANOUAR BAOUNA
Originaire de Ouarzazate, surnommée la porte d'entrée du désert marocain, Anouar, descendant d'une famille Gnawa, à un jeune âge a intégré les groupes d'Ahwache et les Gnawa, qui sont deux traditions arts endémiques à cette ville, et appris jouer du Guembri (basse traditionnelle trois cordes) à l'âge de 15 ans.
Les Gnawa en milieu rural organisent des repas communautaires offerts aux saints marabouts. Certains Gnawa en milieu urbain utilisent un instrument de musique à cordes et des castagnettes, tandis que ceux des zones rurales utilisent de grands tambours et des castagnettes. Coloré, brodé les costumes sont portés dans la ville, tandis que des vêtements blancs avec des accessoires caractérisent la pratiques rurales. Le nombre de groupes fraternels et de maîtres musiciens est en croissance constante dans les villages et les grandes villes du Maroc, et les groupes Gnawa –organisés en associations – détiennent des actions locales, régionales, nationales et internationales fêtes toute l'année. Cela permet aux jeunes d'apprendre à la fois les paroles et instruments de musique ainsi que des pratiques et rituels liés à la culture Gnawa en général.
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OGOUN FERRAILLE
Funk béninois, psych zambien et boogie nigérian issus des dernières trouvailles microsillon d'Ogoun Ferraille...banger alert !
Entrée 10 CHF
Le groupe Aratan N‘Akalle (qui signifie Les enfants du pays en langue tamasheq) est né de la rencontre de jeunes musiciens maliens qui se sont retrouvés dans des camps de réfugiés au Burkina Faso et en Mauritanie au début de l‘année 2012, début de la crise politique au Mali. Ils se sont retrouvés désɶuvrés, avec la musique comme seul refuge et occupation. Ils ont donc décidé de monter ensemble un groupe de musique de blues tamasheq pour montrer ce patrimoine culturel et exprimer leur vécu et leur situation de vie.
Aratan N‘Akalle est invité en Suisse pour un échange culturelle, des collaborations artistiques et à enrichir le publique avec leur musique. Une résidence de création est prevue à Genève au Studio Tortion pour enregistrer une partie de leur nouveau album Achawka en live.
À travers huit titres, Manamosse Kel tamasheq compile un certain nombre de messages et de réponses fondamentales dans la culture tamasheq pour tenter d‘apporter des réponses à la question à la fois universelle et si personnelle de Qui sommes-nous? Pour son premier album, Aratan N‘Akalle nous offre un concentré musical de la culture tamasheq, pour la préserver, la transmettre et l‘expliquer.
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ANOUAR BAOUNA
Originaire de Ouarzazate, surnommée la porte d'entrée du désert marocain, Anouar, descendant d'une famille Gnawa, à un jeune âge a intégré les groupes d'Ahwache et les Gnawa, qui sont deux traditions arts endémiques à cette ville, et appris jouer du Guembri (basse traditionnelle trois cordes) à l'âge de 15 ans.
Les Gnawa en milieu rural organisent des repas communautaires offerts aux saints marabouts. Certains Gnawa en milieu urbain utilisent un instrument de musique à cordes et des castagnettes, tandis que ceux des zones rurales utilisent de grands tambours et des castagnettes. Coloré, brodé les costumes sont portés dans la ville, tandis que des vêtements blancs avec des accessoires caractérisent la pratiques rurales. Le nombre de groupes fraternels et de maîtres musiciens est en croissance constante dans les villages et les grandes villes du Maroc, et les groupes Gnawa –organisés en associations – détiennent des actions locales, régionales, nationales et internationales fêtes toute l'année. Cela permet aux jeunes d'apprendre à la fois les paroles et instruments de musique ainsi que des pratiques et rituels liés à la culture Gnawa en général.
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OGOUN FERRAILLE
Funk béninois, psych zambien et boogie nigérian issus des dernières trouvailles microsillon d'Ogoun Ferraille...banger alert !
Entrée 10 CHF